Au fait l'hypnose ! (le retour)

>> lundi 27 septembre 2010

Je ne sais pas si vous vous rappelez, je vous avais fait un compte rendu de ma première séance d'hypnose. J'ai en stock le second depuis des mois, mais je n'arrivais pas à le pondre. Sauf que là, j'en suis à la quatrième, et punaise c'est juste de la folie ce qui se passe dans mon cerveau. Donc voici le compte rendu de la seconde séance (en mars dernier donc). Les suivantes, je vous la ferais plus courte, c'est bon, on a compris à quoi ça ressemble maintenant, ce qui est intéressant c'est le résultat.

Bon relisez le premier quand même, sinon vous risquez d'être largués.



On a commencé la séance en discutant un peu de mon ressenti des 10 jours qui étaient passés, comment j'avais eu l'impression que "ça" avait tenu 4 jours, et comment après un repas de famille un peu longuet, j'avais "rechuté" sans pouvoir retrouver ce qui avait marché, l'espèce de déclic qui maintenait mes doigts loin de ma bouche.

Ensuite, on a commencé la séance à proprement parler.

Je vous la fais comme je m'en rappelle, l'enchainement est parfois assez flou.

Ferme les yeux, allonge toi sur le fauteuil, sens tout l'espace autour de toi, devant derrière, au-dessus, tout autour, respire et visualise cet air qui rentre puis ressort (à ce moment là je visualise l'espace qui vient à moi, puis repart, un peu comme les vagues sur la plage).

Puis on dépose les soucis, le poids, tous ces poids, l'anxiété, l'angoisse, le poids (je me visualise en train de vider mes poches, et de poser des pavés par terre).
Il n'y a rien à faire qu'à laisser venir, laisser faire, laisser faire, rien à faire
Un moment à ne rien faire, ce n'est pas un moment d'ennui, c'est un moment pour être pleinement dans le présent, comme lors de votre grossesse
(ça a l'air de sortir de nulle part mais promis en fait non).

Revenons à ce repas, visualisez le repas, mettez vous dans l'état dans lequel vous y étiez, revenez sur le positif de ce moment, ce qui vous a plu (je me retrouve lors de ce repas, je revis les discussions, les sensations). Qu'est ce qui vous a contrarié, gêné pendant ce repas
Là j'explique (ouais on cause pendant l'hypnose, au début j'osais pas, je croyais qu'il fallait pas) une certaine saturation de passer vacances et moments libres à tout organiser selon Progé, à ne plus rien organiser à 2.

J'ai alors dérivé sur une crise, trois jours avant, contrariété et angoisse indéfinie désamorcer le truc en me "forçant" à parler, comment j'ai su trouver le nœud initial du problème
Comment il m'a fait prendre conscience combien j'étais dure avec moi en ce moment, depuis le nouveau taf.

La psy m'a alors fait remarquer qu'il fallait que je sois ma meilleure amie, ma très bonne copine. (c'est un terme qu'elle a repris les 2 séances d'ailleurs.) Si je ne suis pas gentille avec moi-même, qui va le faire ? Mon mari ai-je répondu.

J'ai dit aussi comment j'avais pris RV avec la chef pour vérifier que le boulot que je fournissais était celui attendu.
Elle me dit ça vous a donc soulagé, déchargé encore d'un poids.

Puis temps de silence indéfini, je ne sais plus à quel moment elle m'avait parlé de portes à ouvrir pour avancer, et d'autres à refermer. J'ai revu cette image de moi vidant mes poches de pavés.

Et soudain j'ai eu comme une illumination. c'est con mais je l'ai vécu comme ça, comme dans un film où tu vois le papillon sortir victorieux de son cocon et il déploie ses ailes flamboyantes, avec un énorme orchestre derrière.


Soudain, comme une phrase qui s'allume en clignotant dans ma tête.

"Au boulot, je ne fais rien. Ça tombe bien, parce qu'on me demande justement de rien faire. Et que je le fais bien."

(En lettres d'or la phrase carrément...)

(Si ça c'est pas de la phrase de fonctionnaire hein !!)

En gros, j'ai saisi que depuis 6 mois, je n'arrête pas de répéter que je ne produis plus rien, je ne fais rien de concret. En plus je suis censée être chef donc je distribue les tâches mais je ne fais pas moi-même (en grande majorité) et j'ai l'impression d'être inutile.
Sauf que ce boulot de pilotage c'est exactement ce qu'on me demande et ça fonctionne.

En sortant, j'avais envie de rire et de chanter, façon comédie musicale.

(Je pense que ce que je raconte a l'air totalement crétin.)

Mais l'après midi, j'ai enchainé deux réunions, puis vu un grand chef pour récupérer des infos qu'il avait en sa possession et que je dois collecter.

Je me suis trouvée sure de moi, à l'aise, pétillante, vive, ça dépotait.

Ça ne m'était pas arrivée depuis pfiou ! mon précédent job je crois.

Alors je sais pas si je vais récupérer mes ongles. mais je m'en cogne violemment finalement. parce que je sais que ce n'est pas mes ongles qui vont prouver combien je suis mal dans ma peau, puisque je ne le suis pas.
Et les gens n'en auront rien à carrer puisque ce "signal" sera noyé dans le fait que j'assure grave dans mon tailleur Manoukian (même s'il me serre un peu au bide, mais on va y remédier)


Voilà voilà, c'est ce que j'avais pondu en sortant de la séance, relu et corrigé.
J'ai depuis repris RV car mes ongles, ben toujours pas (ce sera l'objet de prochains articles). Par contre le boulot, trop d'la balle. Et depuis six mois.

De la fo-lie, et encore vous savez pas la suite.

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La fierté d'une Mêre

>> samedi 25 septembre 2010

Il y a quelques semaines, je découvre un immeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeense rouleau de papier dans le casier de Progéniture.



Émotion : voici son tout premier dessin réalisé en collectivité.

Tout le trajet en métro, je trépigne en tenant mon rouleau de papier scotché, je tente même d'apercevoir un début de bout de ce qui doit être la future Joconde des siècles à venir.

A peine arrivée à la maison, sans prendre la peine de me déchausser -je néglige même de déshabiller l'artiste-, je déroule frénétiquement délicatement l'Œuvre.


Ouais ...


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C'est la compagnie des lapins rouuuuges ...

>> jeudi 16 septembre 2010

Pour Miss Couettes, j'ai pondu un lapin.

De Pâques, me direz vous ???

Meuh non, un lapin rouge :

Lapin rouge
(cultivé)
(et qui fait le grand écart aussi bien que moi)


Sur le modèle des précédents, sauf que la laine vient de chez Bergère au lieu de Phildar. Franchement, je la préfère (plus dense, plus douce, - plus dix, et je retiens un -) sauf que la pelote fait 6 p£$%µ* de mètres de moins et je me suis retrouvée à récupérer les chutes pour finir les oreilles (que j'ai d'ailleurs complétées avec une autre laine rouge).

Un peu la lose ; pour les prochains, faudra penser à redessiner le patron ...

Laine Teddy de Bergère de France


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En vacances chez Gargamelle et Grangousier

>> lundi 13 septembre 2010

Post démarré cet été pendant les vacances et puis, ben voilà c'était les vacances ...
Là, petit coup de mou de "rentrée" (1 mois et demi qu'elle dure cette rentrée chez nous), donc je le reprends pour me mettre du baume au moral.

J'ai épousé Gargantua.

Quand on rentre "au pays", on croise toujours un truc en abondance.

A l'automne :

En hiver :

Et en été :


Je vous laisse, y a Pantagruelle qui prend son bain dans son lac ...





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LA zécrivaine de la rentrée ...

>> samedi 11 septembre 2010

... c'est moi !



Pour jouer aussi, allez voir .


Info piquée chez Mapunaise.

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Salut les ptits clous

>> jeudi 9 septembre 2010

(Il parait que cette phrase est mythique, mais je suis trop jeune* pour le savoir, il a fallu qu'on me la décode récemment.
* oui vous pouvez me jeter des pierres)



Taguée par La Mite, voici le top 10 de la rentrée de la Tellectuelle.


Ma photo du moment :

L'Homme apprenant à Progéniture l'art difficile du cadrage.






Mon lieu :

Sur la planète Fa (
Non, ma galaxie n'est pas loin d'ici : à un million d'années lumières de ta petite teeeeerre !)




Ma chanson :
Parce que quand même quoi, merci Michel ...
(vous n'êtes pas obligés de cliquer)


Mon livre :

Nan je dis pas ça parce que je suis une grosse fayotte de blogueuse, je l'ai vraiment ce bouquin.










Mon magazine :

Ne me demandez pas d'où vient cette image j'en sais rien, c'est ce qui ressort quand on tape "magazine tricot" dans Google image.




Mon sport :

"Slendertone, pour une beauté musclée." Tout à fait moi !






Mon produit de beauté :

C'est bien simple, depuis que j'en mets, j'ai plus un bouton. Et quand j'arrête de m'en mettre le soir, paf ! je rebourgeonne comme au temps béni de mes 15 ans. Alors ça coûte deux-cent-cinquante-millions les rien-du-tout de millilitres, mais ça les vaut.



Ma boisson :


Comme Jaaaames, une vodka Martini.








Mon aliment fétiche :

Des bonbons en forme de hamburger, ou comment cumuler concept gustatif hérétique et suremballage bestial.


Mon pire souvenir d’enfance :

Un stage de poney ou de cheval je ne sais plus bien. Ça aurait dû être l'apothéose de ma vie de petite-fille-greluche-en-devenir ; eh ben nan, j'ai détesté, et en plus je me suis fait aucune copine.


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